Les gens de The Make-Up n'ont pas toujours sorti des disques à la hauteur de leur talent. Comment, en studio, capturer la classe, la sensualité et l’énergie d’un Ian Svenonius ? Comment apprivoiser sur un simple objet ce mélange de rock 50’s et de Black Music d’autrefois, cette mixture où l’on retrouve des bouts de soul, de gospel, de rhythm’n’blues et de psychédélisme, mais passés au filtre du punk hardcore américain ? Comment rendre pertinente autrement que sur scène cette musique où l’on respire à plein poumon les odeurs du foutre et de la sueur ?