Au vu de leurs dernières sorties, j'avais juré de ne plus m'intéresser ni à Nomar Slevik, ni à Moshe, ni même à la scène rap indé du Maine en général, excepté pour ses membres les plus talentueux, Sontiago et JD Walker. Oui mais voilà, je ne suis pas un être fiable. Et comme A Haunter's Workshop débute par ce qui nous semble une évidence, à nous autres Européens (une évidence pas forcément reconnue comme telle de l'autre côté de l'Atlantique), comme l'album, disais-je, commence par un discours qui nous rappelle que, non, désolé, Dieu n'existe pas (avec un petit côté paranoïa conspirationniste en plus...), et quand on ajoute à cela cette pochette pour le moins... singulière, forcément, ça incite à en savoir davantage.