MIGOS - Young Rich Niggas S'il y a un homme auquel la cuvée rap 2013 donne raison, il s'agit bien de Gucci Mane. Ce dernier a beau se débattre dans d'énièmes démêlées judiciaires et être confronté à la sécession de son plus beau poulain, Waka […]
SIAH & YESHUA DAPOED - The Visualz Anthology La gloire de Fondle'em, mais aussi son tort, c'est d'avoir privilégié le format EP. Pour cette raison, dans ce monde qui, malgré la dématérialisation des sons, considère encore l'album comme l'œuvre musicale définitive, […]
STARLITO - Cold Turkey On ne comprend pas Starlito si l'on ne connait pas un tant soit peu sa biographie. Celui dont le vrai nom est Jermaine Shute n'est, en effet, pas né d'hier. Vanté au milieu des années 2000 par Young Buck, seule star du […]
HAIKU D'ETAT - Haiku D'Etat L'association des termes "haïku" et "coup d'état" parait bien étrange, en français. Mais elle traduit l'esprit de cette œuvre singulière, qui mêle la concision et la force d'évocation de la poésie […]
FACTOR - Chandelier A l'origine, à l'époque de compilations très perfectibles comme Time Invested, le beatmaker Factor ne semblait être qu'un second couteau du riche underground rap canadien. Certes, on lui a reconnu assez vite un joli […]
DALEK - Absence Des doutes subsistaient encore à l’écoute de l'opus précédent de Dälek, From Filthy Tongue Of Gods & Griots. Inégal, construit sur les facilités du bruit, du mur du son et des crescendo, il ne tirait pas encore tous […]
NEILA - Only This One Counts "S'il vous plait, soutenez mon album, aidez moi à payer mes factures d'hôpital et mon loyer". Ainsi Neila, en 2011, présente-t-elle Only This One Counts. Avec ce cri de détresse, la rappeuse originaire d'Hawaï, […]
COMPANY FLOW - Little Johnny from the Hospitul Une chose était sûre : le successeur d'un Funcrusher Plus déjà mythique n'allait pas remettre pas en cause le statut d'icône underground de Company Flow. Mais il pouvait l'ébranler. Alors que le trio n'avait plus qu'à continuer sur sa lancée pour imposer son rap sans concession à un public indé en plein développement, il avait choisi en effet de nous revenir avec un album encore plus sombre, barré et difficile d'accès que le précédent, et qui plus est totalement instrumental. Plus que jamais "Independent as fuck", Co-Flow ne prenait décidément pas la voie de la facilité.