Tout pareil sauf que j'ai du mal à voir comment "on s'en sort bien" en fin d'année. Je ne pense pas que ce soit une question de rap mais plutôt une question de moi. Les vieux rappeurs me font mal au coeur à faire toujours pareil et les jeunes je les trouve débiles ou pathétiques. Je suis devenu Clint Eastwood dans Gran Torino.

Ceci dit je m'intéresse toujours au rap mais comme un historien chiant en fait. Je découvre plein de vieux trucs, je creuse, j'approfondis et ça me convient bien comme ça. 

Tiens, l'année est, pour l'heure, archéologique chez moi aussi : je réécoute des disques et fais mes devoirs en en découvrant d'autres que je n'ai jamais pris le temps d'écouter. J'ai pas à me plaindre, mais je dirais pas non à quelques nouveautés.

D'ailleurs les écoutes se font en parallèle de la lecture plus approfondie de bouquins jamais terminés : le Gangsta rap de Pierre Evil, le Rap indépendant de notre hôte, et L'enfer sur Terre des amis PBS et Damencio.