à l'époque Girlfriend et autres ça m'avait fait penser à ça :

Disco D qui me fait, notamment, penser à ça :

La boucle est bouclée 🙂

Blockhead a posté cette photo (qui date de 2001). Ça ne nous rajeunit pas :

Nouveau Blackalicious le 18 septembre. Deux extraits dispo.

01 "Faith" (ft. Amde of The Watts Prophets)
02 "Blacka"
03 "Ashes to Ashes"
04 "On Fire Tonight" (ft. Myron of Myron & E)
05 "Escape"
06 "The Sun" (ft. Imani Coppola)
07 "That Night" (ft. Vursatyl and Jumbo of The LifeSavas)
08 "Inspired By" (ft. Bosko)
09 "We Did It Again" (ft. Danielle Flax)
10 "I Like The Way You Talk"
11 "Twist of Time"
12 "The Blow Up"
13 "Loves Gonna Save the Day" (ft. Fantastic Negrito)
14 "Alpha and Omega" (ft. Lateef, Lyrics Born, Monophonics, & DJ D Sharp)
15 "The Hour Glass"
16 "Imani" (ft. Zap Mama)

Va savoir pourquoi, j'avais le refrain de As The World Turns qui tournait en boucle dans ma tête lors de mon insomnie de cette nuit, alors que j'ai pas du écouter ce morceau depuis 3 ans... ça doit être un signe prémonitoire que cet album sera bien.

Je garde un bon souvenir de leur dernier album The Craft et les 2 extraits lâchés sont encourageants. Donc ouais j'ai bon espoir aussi.

Nouveau Dave Dub: https://davedubs.bandcamp.com/album/sades-forehead

J'aime beaucoup "Bunny hopping", les autres instrus sont assez mauvaises, et cette intro c'est du suicide,
c'est dommage, il est fort...

"Sgt. Killmore" était cool aussi :

Tout en tout je le trouve ok le Dave Dub. Pas génial, mais pas indigeste.

Le nouveau Eligh est finalement pas mauvais, tout produit à la 808 par DNAE Beats (et Starkey sur Duality), ce qui va faire chier les puriste, mais c'est toujours mieux que la soupe des albums précédents. Gratos: http://eligh.bandcamp.com

Pour info, et en prolongation de ce topic, j'ai decidé de faire de la fanpage Facebook du bouquin sur le rap indé une sorte de bulletin d'actualité des sorties post rap indé de l'an 2000. On retrouve quelques uns de tes liens, Gnou.
https://www.facebook.com/pages/Rap-Ind%C3%A9pendant-la-vague-hip-hop-ind%C3%A9-des-ann%C3%A9es-1990-2000/239803776207756

Le nouveau Eligh est finalement pas mauvais, tout produit à la 808 par DNAE Beats (et Starkey sur Duality), ce qui va faire chier les puriste, mais c'est toujours mieux que la soupe des albums précédents. Gratos: http://eligh.bandcamp.com

Cool un nouveau Eligh. Par contre, qu'est-ce que tu n'avais pas aimé dans les précédents ? J'avoue m'être arrêté à Therapy At 3 que j'avais beaucoup apprécié. Il a fait d'autres trucs depuis à part ses escapades habituelles avec The Grouch ?

Therapy at 3 était un peu une exception (et encore, je l'aime moins aujourd'hui qu'à l'époque).

Je ne me souviens pas avoir écouté quoi que ce soit de récent d'Eligh, mais depuis la fin des années 2000, c'est pas trop ça. On Sacred Ground et Grey Crow n'étaient franchement pas terribles, et il y avait eu ce titre infâme avec The Grouch et Pigeon John posté ici, où il marchait sur les pas, pop, de Macklemore (ce qui était déjà le cas avec Therapy at 3, d'ailleurs).

Il n'y a malheureusement qu'une seule place sous le soleil pour les anciens rappeurs indé blancs drogués, et Macklemore l'a prise.

Ceci dit, j'ai prévu d'écouter cette dernière sortie aujourd'hui, et on n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise.

Je n'avais pas prêté attention à Grey Crow mais, je confesse, On Sacred Ground m'avait bien plus. L'esprit country/folk/je-chante-avec-maman : j'étais dans l'empathie même si je reconnais les limites musicales et le côté guimauve du truc.

Il n'y a malheureusement qu'une seule place sous le soleil pour les anciens rappeurs indé blancs drogués, et Macklemore l'a prise

🙂

Il m'a toujours endormi Eligh, il a un timbre de voix super monocorde, c'est comme l'extrême inverse de Busdriver l'homme-solo de saxophone en tout aussi rapide.
Et puis rétrospectivement au moins 50% de la discographie des Living Legends c'est comme Atmosphere, ça s'adresse à des adolescents, c'est moralisateur, naïf, ça pleurniche un max...

Les Living Legends, Atmosphere, oui. Du rap indé respectable chiant, avec quelques fulgurances.

On appelait ça middleground à l'époque, i.e. underground mais pas particulièrement audacieux.

Mais Eligh, c'était la crème des Living Legends.